La galerie photo sous forme de site étant trop contraignante, je passe à un blog photo plus simple à mettre à jour. Encore peu garni actuellement, je vais le remplir progressivement.
Ca se passe ici
samedi 15 décembre 2012
vendredi 16 novembre 2012
Frontières numéro 2
Frontières persiste et signe avec une nouvelle publication. Beaucoup de matière - dossiers, BD, chroniques, nouvelles, illustrations... - et un montage classieux.
J'ai l'honneur d'y publier deux chroniques de bouquins, Désolation Road de Jérôme Noirez et Mordre le bouclier de Justine Niogret.
C'est totalement gratuit, et il suffit de cliquer ici pour lire la revue.
Et par ici, c'est le site des éditions du Nexus où vous pourrez retrouver les numéros précédents.
J'ai l'honneur d'y publier deux chroniques de bouquins, Désolation Road de Jérôme Noirez et Mordre le bouclier de Justine Niogret.
C'est totalement gratuit, et il suffit de cliquer ici pour lire la revue.
Et par ici, c'est le site des éditions du Nexus où vous pourrez retrouver les numéros précédents.
Libellés :
A propos d'imaginaire
lundi 20 août 2012
Prix Pépin du Public
Les Pépins se suivent et ne se ressemblent pas. Cette année, suite à un vote serré, c'est le prix du public que je décroche avec mon pépin (pour rappel, c'est un texte SF de 300 caractères max) "Vision". L'occasion de mettre à jour la "pépinière" : cliquez ici pour voir mes autres brèves de la SF.
Vision
Osant soulever ses lunettes anxiolytiques, l'instituteur découvrit la véritable nature de sa classe d'élèves en difficulté. La plupart était armés. Ceux qui ne combattaient pas avaient l'air morts. Il remit ses verres et, face aux anges souriants, se plongea dans le manuel de survie.
Vision
Osant soulever ses lunettes anxiolytiques, l'instituteur découvrit la véritable nature de sa classe d'élèves en difficulté. La plupart était armés. Ceux qui ne combattaient pas avaient l'air morts. Il remit ses verres et, face aux anges souriants, se plongea dans le manuel de survie.
samedi 30 juin 2012
Frontières number one
La revue numérique Frontières publie son numéro 1, qui est en fait le second numéro puisque le premier était le numéro zéro...
Bref, l'équipe y transforme l'essai avec une publication très pro. On y trouve un dossier consistant, des interviews d'auteurs en vogue, des chroniques, une nouvelle, de la BD, de l'illustration... Que du bon, et c'est bien pratique pour renouveler ses listes de lecture, surtout depuis la mort du Cafard Cosmique (paix à son âme).
Pour ma part j'y ai pondu la chronique d'Ad Noctum de Lamarque et Portrait, que vous pourrez découvrir en page 21.
C'est gratuit. Ca se lit en ligne en cliquant ici, et vous pouvez rendre visite au site de l'équipe en cliquant là
Bref, l'équipe y transforme l'essai avec une publication très pro. On y trouve un dossier consistant, des interviews d'auteurs en vogue, des chroniques, une nouvelle, de la BD, de l'illustration... Que du bon, et c'est bien pratique pour renouveler ses listes de lecture, surtout depuis la mort du Cafard Cosmique (paix à son âme).
Pour ma part j'y ai pondu la chronique d'Ad Noctum de Lamarque et Portrait, que vous pourrez découvrir en page 21.
C'est gratuit. Ca se lit en ligne en cliquant ici, et vous pouvez rendre visite au site de l'équipe en cliquant là
Libellés :
A propos d'imaginaire
dimanche 17 juin 2012
Un an de journalisme
Un an et même un peu plus, puisque les sujets de saison font leurs retours. De l'élection de la miss locale aux dossiers estivaux pour les touristes, ce sentiment de déjà-vu me permet de réaliser que treize mois se sont écoulés. Il semble que le journaliste d'hebdomadaire évolue sur un cercle. Un an donc, où je me suis lancé dans le métier par opportunité et nécessité alimentaire plus que par conviction. Une année riche pourtant, moi qui croyait avoir tout vu en ayant enchaîné déjà tant de petits boulots et missions intérim. Les portes qui s'ouvrent, c'est toujours grisant. Le sport gratuit et vu du bord du terrain, les interviews de gens "vus à la télé", les quelques scandales déterrés, les rares retours positifs et ces instants parfaits où l'on est au bon endroit, au bon moment, et l'on sait qu'on aura la photo que les autres n'auront pas. Et au-dessus de tout ça, ces reportages qui vous font traverser des univers avec le sentiment de franchir une porte dimensionnelle. Passer des jours avec la police scientifique sur le terrain, avec les militaires lors de l'entraînement commando, suivre un long procès d'assises, le tournage d'une émission télé, vivre un incendie avec les pompiers, ou escalader des monuments, des usines, des chantiers et tout ce que vous voulez juste parce que vous avez une carte de presse. Apprendre chaque jour des dizaines de choses nouvelles, mais sans recul, parce que pas le temps. Parler du boulot avec les collègues en salle de rédac, croiser les confrères des autres médias. Jouir de glisser des jeux de mots ou des petites phrases à double sens dans ses textes. Je ne me suis jamais enrichi autant que cette année, et j'ai accumulé matière à histoires pour un bout de temps. Mais un an pénible aussi. Pénible parce que la presse papier va notoirement mal, ce qui implique salaire minimum et statut fragile. Parce que "effectif réduit" signifie faire davantage que prévu. En clair, au-delà d'une quarantaine d'heures au bureau, ne pas hésiter à travailler le soir ou les week-ends parce qu'il faut rédiger, couvrir un évènement ou retoucher les photos. Bye bye la vie privée. Gérer le stress du chemin de fer à remplir dans l'urgence, et trouver des idées, parce qu'avoir carte blanche a son revers : il faut inventer ses sujets, plusieurs par semaine, chaque semaine, sans cesse. Savoir jouer le standardiste ou le webmaster. Perdre du temps aux conférences de presse langue-de-bois, surtout quand il n'y a pas de petits fours. Pas le temps d'écrire pour soi, tandis que les projets SF s'empilent. Tout ça non pour me plaindre, puisque j'ai choisi ce travail, mais pour confirmer, si besoin était, qu'il n'y a pas que de bons côtés à être journaliste. Et un jour ou l'autre, il faudra bien réinvestir la matière accumulée.
Libellés :
Hors-Sujet
lundi 5 mars 2012
Retour vers Asgard
La revue canadienne Brins d'Eternité n°31 est sortie et publie ma nouvelle Retour vers Asgard, probablement l'un des textes qui m'a demandé le plus de recherches. C'est un mélange de space opéra et de mythologie scandinave, à plusieurs voix.
Merci à Joanie Gélinas, qui me propose une très belle illustration tout à fait space op.
Odin, Loki, Thor et les autres élèves démiurges sont les survivants d'une humanité à l'agonie, dévorée par le Néant. Ils doivent retourner dans le passé, jusqu'à l'instant originel, où ils pourront générer un nouveau cycle de vie. Au passage, il faudra reconstruire Asgard, la cité des dieux.
Le numéro devrait être bientôt commandable (même depuis la France via Paypal) sur le site de Brins d'Eternité.
Une critique du numéro sur Yozone.
Merci à Joanie Gélinas, qui me propose une très belle illustration tout à fait space op.
Odin, Loki, Thor et les autres élèves démiurges sont les survivants d'une humanité à l'agonie, dévorée par le Néant. Ils doivent retourner dans le passé, jusqu'à l'instant originel, où ils pourront générer un nouveau cycle de vie. Au passage, il faudra reconstruire Asgard, la cité des dieux.
Le numéro devrait être bientôt commandable (même depuis la France via Paypal) sur le site de Brins d'Eternité.
Une critique du numéro sur Yozone.
Libellés :
Publications
mercredi 15 février 2012
Frontières
Frontières, c'est une revue numérique de science-fiction qui se lance, toute neuve toute fraîche. C'est beau, c'est pro, il y a des articles, des interviews, des chroniques, de la BD et des nouvelles.
Un sacré pari que de lancer quelque chose d'aussi abouti et demandant autant de travail, au milieu du foisonnement de sites à la qualité variable. Mais j'ai l'impression que ça valait le coup.
Vous pouvez lire en ligne le numéro zéro, gratuitement, ici ou via le site des Editions du Nexus.
J'y ai légèrement contribué en y plaçant ma nouvelle Abyssale partie de pêche, déjà publiée en 2009 dans la revue canadienne Brins d'Eternité . C'est un plaisir d'avoir mon nom à côté de celui d'Eve Oemor, qui signe ici sa nouvelle "Ebola". Pour ceux qui sont curieux de voir ce que j'écris sans avoir à acheter une revue, c'est l'occasion.
J'y ai également rédigé une petite chronique des deux premiers tomes de la trilogie de Peter Watts, Starfish et Rifteurs, des bouquins qui m'ont marqué et que je recommande.
Bonne lecture
Première critique sur Outremonde.
Un sacré pari que de lancer quelque chose d'aussi abouti et demandant autant de travail, au milieu du foisonnement de sites à la qualité variable. Mais j'ai l'impression que ça valait le coup.
Vous pouvez lire en ligne le numéro zéro, gratuitement, ici ou via le site des Editions du Nexus.
J'y ai légèrement contribué en y plaçant ma nouvelle Abyssale partie de pêche, déjà publiée en 2009 dans la revue canadienne Brins d'Eternité . C'est un plaisir d'avoir mon nom à côté de celui d'Eve Oemor, qui signe ici sa nouvelle "Ebola". Pour ceux qui sont curieux de voir ce que j'écris sans avoir à acheter une revue, c'est l'occasion.
J'y ai également rédigé une petite chronique des deux premiers tomes de la trilogie de Peter Watts, Starfish et Rifteurs, des bouquins qui m'ont marqué et que je recommande.
Bonne lecture
Première critique sur Outremonde.
Libellés :
Publications
dimanche 8 janvier 2012
Clichés
Petite mise à jour de la galerie photo. J'ai notamment rajouté une série de têtes connues que j'ai l'occasion de shooter au cours de mes sujets. J'aime tout particulièrement celle-ci, avec le prince Albert de Monaco et l'affiche qui semble le regarder...
C'est par ici.
Edit : les liens ne fonctionnent plus, la galerie a été remplacée par ce blog photo
C'est par ici.
Edit : les liens ne fonctionnent plus, la galerie a été remplacée par ce blog photo
Copyright P. Becker |
Libellés :
Hors-Sujet
Inscription à :
Articles (Atom)