Cette fois je publie dans Ténèbres 2017 ma nouvelle Il ne ferme jamais les yeux, aux côtés d'auteurs traduits et de quelques collègues francophones.
Pour la première fois je tente le thème de la possession, et en même temps c'est un texte assez personnel avec quelques éléments entendus ou vécus.
La mère de Michael s'isole dans cet appartement à bas prix d'une barre d'immeubles, avec son enfant qui n'est plus vraiment le sien. Plus depuis qu'il semble avoir absorbé l'esprit qui hantait le logement. Plus depuis qu'il soulève des formes sous la moquette et qu'il répand le mal autour de lui. Mais est-ce une raison pour ne pas le soutenir ?
Une anthologie à se procurer en cliquant ici
Le sommaire complet :
La révolte des jouets gonflables par Robert Essig (Traduction : Clotilde Landais)
Il ne ferme jamais les yeux par Phil Becker
Les loups de Vimy par David Jón Fuller (Traduction : Sabine Sur)
La terreur du village par Sylvain Lamur
Monstres par Jeff Carlson (Traduction : Sabine Sur)
Tant que ça reste en famille… par Jean-Marc Sire
Derrière les thuyas par Olivier Caruso
Mémoire et grimoire par David Gibert
De l’autre côté du miroir par TLDorian (Traduction : Nadège Gayon-Debonnet)
Creuser les morts par Jean-Pierre Favard
La servante de l’aswang par Samuel Marzioli (Traduction : Anne Escaffit)
Dernier baiser par Pascal Sacré
L’enfant des terres par Natalia Theodoridou (Traduction : Muriel Georges)
Hulotte par Élodie Beaussart
Des joueurs et des pions par Erwan Bargain
Passage en caisse par Alexandre Ratel
Syndrome de Stockholm par Marilyn Bouchain
Autopsie d’une rencontre par Dola Rosselet
De quoi avez-vous besoin ? par Milo James Fowler (Traduction : Christophe Cuq)
De becs et de chair par George Cotronis (Traduction : Céline Le Vu)
L’église sur l’île par Simon Kurt Unsworth (Traduction : Nathalie Serval)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire