dimanche 9 octobre 2022

Le dieu d'os

Retour aux nouvelles avec la publication d'un nouveau texte, Le dieu d'os, dans la revue AOC n°65

Avec cette nouvelle, je complète l'univers post-apocalyptique dans lequel on retrouvait déjà d'autres récits publiés, Fleurs de Lune (dans Fiction N°20), Ganiagwaihegowa (dans l'anthologie Animaux Fabuleux) et Avec un homme de la Lune (dans AOC N°55).

Dans le camp de Chanda, au milieu du désert, le mutant Syselhme, dont les os lui jaillissent hors de la peau, aurait dû mourir à la naissance. Mais envers et contre tout, il règne sur les ruines du monde et nul n'a intérêt à lutter contre sa vision. Ni l'intelligence artificielle qui chuchote à son oreille, ni les zonards nomades, ni même cette journaliste en cage...

Je bénéficie d'une superbe illustration d'Eric-Faure Brac. Très heureux de voir la manière dont il a rendu l'autobus vertical !

Les autres textes au sommaire du numéro :  Le Divan des héros, de Marie Albert, Double rencontre au British Museum, de Jean Paris et Je suis Bertram Ranzer de Thierry Fauquembergue.


Pour acheter ce numéro au prix de 4 euros, vous pouvez cliquer ici.



Ils en parlent :

Le site de chroniques Yozone dit un petit mot de ma nouvelle : 

"Le dieu d'os" a un nom pas possible et il est à la tête de mutants affichant des excroissances osseuses hors nature. Lui-même est encagé dans une cage d'épines, mais il possède un atout, un patch technologique sur sa tempe abritant une sorte d'IA. L'arrivée de zonards change la donne. Phil Becker est un habitué de "AOC", qui ne manque pas d'imagination comme il le prouve une fois de plus avec un être vivant envers et contre tout. L'histoire s'avère étonnante et rien n'y semble impossible, sans que le lecteur n'y trouve à redire.

Un agréable commentaire sur Babelio :

Le Dieu d'os de Phil Becker est une très bonne histoire décalée et largement déjantée. On démarre dans une ambiance post-apo au milieu de mutants fort originaux : ils ont un exosquelette naturel qui ne les empêche pas de naître (aïe, leur pauvre maman !) et de vivre, adaptés de manière fort originale (je ne vous raconte pas lorsqu'un mutant enlace une non mutante qui se glisse entre son corps et son exosquelette). Créativité au (mad) max de l'auteur. Ca dérape juste ce qu'il faut pour finir en beauté, tout en restant très intelligent.

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